4150 - Chez les gardians

N. Lygeros

Le ciel était bas et sombre

non pour cacher la misère

mais pour montrer la chaleur

des petites maisons de gardians.

Je ne savais pas que peindre en premier

la pauvreté ou la beauté.

Les hommes ne me laissèrent pas la choix

aussi je couvris d’huile leurs blessures

pour les protéger de l’oubli.