1858 - Le chevalier à la main sur la poitrine

N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras

Personne n’entendait son regard
tous regardaient les mots de ses doigts.
Ils ne voyaient pas seulement l’épée
mais aussi l’étrange poignée.
Des siècles maintenant qu’attend
le chevalier à la main sur la poitrine.
Le serment qu’il fit alors
sous les moulins à vent
n’a pas cessé d’être en vigueur